Note de la rédaction: nous informons nos lecteurs qu’à partir du mercredi 8 février 2017 et selon l’usage, nous ne publierons plus de lettres de lecteurs ou de commentaires relatifs aux votations du 12 février 2017. En revanche, nos colonnes vous seront à nouveau ouvertes après cette date pour commenter les votations.

Le Cotterg

Nos instances dirigeantes fédérales, cantonales, communales, à part quelques exceptions, ne préconisent pas l’intérêt des citoyens dans leur majorité, ni celui du pays pour sa nature.

Des trois sujets de votations fédérales, le seul objectif visé c’est le “fric”, le gain. Ne pas diminuer la prospérité grâce à la libre circulation, surtout pour une minorité qui se déplace en avion, en taxi ou avec un abonnement général 1ère cl., ceux qui ne connaissent pas la promiscuité, les “bouchons”, les attentes !

Les naturalisations devraient être limitées, surtout bien examinées (comment a-t-on pu naturaliser les Ramadan ?) C’est donc l’augmentation de la population qui engendre des frais énormes d’infrastructures, de sécurité, pénurie de logements, bétonnage, destruction de l’environnement. Et voilà le résultat, c’est FORTA. Citoyens contribuables, passez à la caisse !

La fiscalité des entreprises étrangères établies en Suisse devrait être la même sur tout le territoire et légèrement supérieure à celle des autochtones. Les économistes, affairistes prétendent que ce sont les étrangers qui font la prospérité de la Suisse. Peut-être pour certains avec le travail “au noir” ou sous-payé. Il y a cependant et toujours au minimum 3% de chômage malgré environ un million d’étrangers actifs. Pour d’autres, les rentes (AVS, 2e pilier, etc.) n’ont pas augmenté et les salaires plafonnent.

Auparavant, la Suisse, moins peuplée, était déjà enviable durant la période 1950 – 1990 d’où l’afflux massif d’étrangers, plus encore dès Schengen.

Votez avec lucidité.

Robert Reymond
Les Ormonts
Lettre publiée le 4 février 2017

1 Commentaire

  1. Mais que voilà un discours typique d’une sensibilité aussi gauche que de gauche !

    Le fric, le fric, le fric ! Qu’il est difficile d’être plus réducteur. Le bonhomme, comme beaucoup de détracteurs, semble oublier que si ce n’est le fric, c’est la bonne marche des entreprises qui fait que notre pays est encore en bonne santé. Ce ne sont ni les pauvres qui font notre prospérité, ni cette partie beaucoup trop importante de la population, qui refusent que des entreprises gagnent de l’argent, maintiennent ou créent des postes de travail qui font ce bien-être dont ils bénéficient !

    Le RIE III, si elle est loin d’une perfection théorique, a l’avantage de réduire la différence de taux d’imposition entre les sociétés étrangères et les sociétés suisses. Les entreprises étrangères vont, dans une large mesure, accepter de payer un peu plus, alors que nos PME vont payer un peu moins. On articule des pertes fiscales. Mais j’aimerais savoir si quelqu’un a essayé d’estimer l’impact d’une diminution d’imposition au profit d’une stimulation indispensable afin de permettre des investissements et une concurrence accrue vis-à-vis de l’étranger. Je me permets de rappeler les efforts que la Suisse doit consentir par rapport à la cherté de sa monnaie. Si on peut donner un coup de pouce aux entreprises de notre pays, je suis convaincu que nous en sortirons tous grandis.

    Baissez les impôts, les gens auront moins le sentiment de travailler pour l’Etat et la bande de dépendants de l’aide sociale. Ils travailleront plus dans leur intérêt et celui de leur société, donc ils gagneront plus, et ainsi, ils paieront plus d’impôts !

    Dans ce Canton «géré» par une gauche bien pensante, mais mal calculante, le budget de 2017 prévoit plus pour le social et que pour l’instruction. Voyez-vous où cela va finir ?

    Oh oui, votez avec lucidité, et intelligence s’il est possible.

    Jean Lugrin
    Les Diablerets

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