De mémoire de paysan, il y a une bonne vingtaine d’années, si ce n’est plus, que les chevalets à foin avaient disparu, quand ils n’avaient pas été tout simplement brûlés par leur propriétaire, faute de rendre service. Par temps maussade, ils servaient à sécher le foin, en évitant qu’il pourrisse au sol. Avec la météo détraquée de cet été et de ce début d’automne, les paysans ont eu beaucoup de mal à sécher, puis à rentrer un fourrage correct. Si bien que quelques-uns d’entre eux, dont celui du Rosex d’en Bas, ont recouru aux méthodes de jadis pour sécher leur foin: les bons vieux chevalets.
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